On l'appelle aussi "Vanesse de l'ortie". C'est une espèce de lépidoptères de la famille des Nymphalidae. Elle est largement répandue en Europe, et sa chenille se nourrit d'orties.
La petite tortue se rencontre dans toutes sortes de milieux ouverts naturels et semi-naturels : prairies, friches, jardins et parcs urbains, etc.
L'espèce Aglais urticae a été décrite par le naturaliste Carl Von Linné en 1758, sous le nom initial de Papilio urticae. L'épithète spécifique urticae fait référence à la principale plante hôte larvaire de cette espèce : Urtica dioca, la grande ortie.
Le dessous des ailes est brun terne, orné d'un motif discret qui évoque la texture d'une écorce ou de feuilles mortes, ce qui aide le papillon à rester camouflé lorsqu'il hiberne. S'il ouvre brutalement les ailes, les couleurs vives de la face supérieure semblent contribuer à pouvoir effrayer certains prédateurs (ceci a été expérimentalement confirmé, au moins pour les oiseaux jeunes et/ou inexpérimentés).
On l'appelle aussi "Vanesse de l'ortie". C'est une espèce de lépidoptères de la famille des Nymphalidae. Elle est largement répandue en Europe, et sa chenille se nourrit d'orties.
La petite tortue se rencontre dans toutes sortes de milieux ouverts naturels et semi-naturels : prairies, friches, jardins et parcs urbains, etc.
L'espèce Aglais urticae a été décrite par le naturaliste Carl Von Linné en 1758, sous le nom initial de Papilio urticae. L'épithète spécifique urticae fait référence à la principale plante hôte larvaire de cette espèce : Urtica dioca, la grande ortie.
Le dessous des ailes est brun terne, orné d'un motif discret qui évoque la texture d'une écorce ou de feuilles mortes, ce qui aide le papillon à rester camouflé lorsqu'il hiberne. S'il ouvre brutalement les ailes, les couleurs vives de la face supérieure semblent contribuer à pouvoir effrayer certains prédateurs (ceci a été expérimentalement confirmé, au moins pour les oiseaux jeunes et/ou inexpérimentés).
Source : Wikipedia.
Merci Thierry ! De bien belles photos.