Le nom hellébore semble venir du terme « helibar » ou « helebar » tiré d'un dialecte sémitique qui signifirait : remède contre la folie. L'hellébore fétide était en effet utilisé contre les troubles psychiques, mais cette utilisation est à proscrire en raison de sa toxicité qui peut entraîner la mort. Elle est qualifiée de fétide en raison de l'odeur repoussante de la plante quand on la touche.
L'Hellébore fétide est aussi appelé : rose de serpent, patte d'ours, mords-cheval, herbe printanière, favalau.
Comme tous les hellébores, l’hellébore fétide est une plante vénéneuse.
Les fruits sont des follicules (fruits secs déhiscents issus de carpelles isolés et s’ouvrant par une unique fente) Leur déhiscence à maturité libère plusieurs graines. Celles-ci étaient utilisées au moyen-âge pour traîter la folie.
" Elle a besoin de six grains d’hellébore, Monsieur, son esprit est tourné..." (Molière dans Amphitryon)
L'hellébore fétide pousse naturellement en marge forestière, en lisière ou dans les clairières.
Le nom hellébore semble venir du terme « helibar » ou « helebar » tiré d'un dialecte sémitique qui signifirait : remède contre la folie. L'hellébore fétide était en effet utilisé contre les troubles psychiques, mais cette utilisation est à proscrire en raison de sa toxicité qui peut entraîner la mort. Elle est qualifiée de fétide en raison de l'odeur repoussante de la plante quand on la touche.
L'Hellébore fétide est aussi appelé : rose de serpent, patte d'ours, mords-cheval, herbe printanière, favalau.
Comme tous les hellébores, l’hellébore fétide est une plante vénéneuse.
Les fruits sont des follicules (fruits secs déhiscents issus de carpelles isolés et s’ouvrant par une unique fente)
Leur déhiscence à maturité libère plusieurs graines.
Celles-ci étaient utilisées au moyen-âge pour traîter la folie.
" Elle a besoin de six grains d’hellébore, Monsieur, son esprit est tourné..."
(Molière dans Amphitryon)
L'hellébore fétide pousse naturellement en marge forestière, en lisière ou dans les clairières.
Source : Wikipedia.
Merci Thierry !